Katherine et Lou Brault dans l'atelier du château de Rosa Bonheur à By-Thomery ©AnFloreH

Elles ont redonné vie au château de la peintre oubliée Rosa Bonheur

Katherine Brault et deux de ses filles continuent à écrire l’histoire du château de By, à Thomery, en Seine-et-Marne, intimement liée à des histoires de femmes. Tout commence en 1859 avec l’acquisition du domaine par l’artiste peintre.

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Virginie Courtier-Orgogozo, chercheuse à l'Institut Jacques Monod à Paris. ©AnFloreH

Elle scrute les mouches pour mieux comprendre le vivant

Depuis plus de vingt ans, la biologiste Virginie Courtier-Orgogozo étudie les mécanismes génétiques impliqués dans l’évolution, afin de mieux comprendre les origines et l'avenir des espèces. 

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Victoria Girondeau est un des bras droits du sénateur costarmoricain Gérard Lahellec

Collaboratrice parlementaire, Victoria Girondeau assiste le sénateur pendant son mandat

 Avec le sens de l’engagement public et la rigueur d’une juriste, elle facilite les missions de l’élu costarmoricain qui l’emploie, Gérard Lahellec, afin de répondre aux attentes des territoires. 

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La médecine esthétique est en plein essor

Malgré quelques ratés chez les célébrités et les scandales de faux injecteurs, cette discipline connaît un succès croissant, notamment grace aux réseaux sociaux. Clémence Levasseur s'est intéressée à ce phénomène pour le magazine Maxi. Un article publié le 30 janvier dernier, à lire ici.

Crédit photo : CC Médecine esthetique Paris Chatelet


Algorithmes : le code a changé

Ils nous proposent des playlists sur les plateformes de musique en streaming, de trouver l'âme sœur sur les applis de rencontres, de passer par telle route pour atteindre plus rapidement notre destination... Depuis quinze ans, les algorithmes se sont installés dans nos vies. Et ce qu'on le veuille ou non. Car de plus en plus de services publics s'en servent aussi à grande échelle, plongeant parfois les usagers dans le désarroi face à cette nouvelle main invisible.

Une enquête d'Alexia Eychenne et du dessinateur Thibaut Soulcié parue en décembre 2022 dans La Revue dessinée.


Pour ou contre les cours criminelles départementales ?

À partir du 1er janvier 2023, les crimes passibles de quinze à vingt ans de réclusion ne sont plus jugés aux assises mais devant des cours criminelles départementales (CCD), à l’essai depuis 2019. Exit les juré·es, ces citoyen·nes tiré·es au sort : la justice est désormais rendue par cinq magistrat·es professionnel·es. Une révolution. Dans près de 90 % des cas, les crimes relevant des CCD sont des viols. Aujourd’hui, face aux délais monstres des cours d’assises, de nombreuses victimes acceptent de se tourner, faute de mieux, vers le tribunal correctionnel : les viols sont jugés plus vite, mais requalifiés en délits et minimisés. Ces tribunaux d’un nouveau genre peuvent-ils éviter la « correctionnalisation » des viols ? Ou créent-ils une justice au rabais, sans s’attaquer au problème de fond, à savoir le manque alarmant de moyens ?

Un débat "Pour/Contre" réalisé par Alexia Eychenne et publié dans Causette en janvier 2023.


L'élevage à la rescousse du sauvage

Dans le Marais breton, des agriculteurs préservent la biodiversité des zones humides grâce à des techniques agricoles respectueuses du vivant. À la ferme de La Barge, menée par Frédéric Signoret et Ludivine Cosson, cette reprise de terres repose sur une stratégie foncière affutée.

Un reportage publié le 28 décembre 2022, à lire sur Socialter, dans le hors-série « Ces terres qui se défendent »


"Internet est un corps !" Grégory Chatonsky & Thibault Brunet

Le premier est un pionnier du Net art fasciné par les mutations identitaires qu’appelle la virtualité. Le second est un gamer qui perd à dessein son avatar dans les espaces de jeu de Minecraft ou de Call of Duty. Les artistes Grégory Chatonsky et Thibault Brunet exposent dans leurs œuvres les impacts du réseau sur les corps et leurs représentations...

Article paru dans le N°37 d'Usbek & Rica


Ghada Amer : «Ma colère n’a pas changé»

L’œuvre polymorphe de Ghada Amer, faite de peinture, de broderie, de sculptures et d’installations végétales, dénonce depuis des décennies le regard de la société sur le corps des femmes.