Sur le divan : "tester l'EMDR, c'était comme désamorcer une bombe"
Premier volet de notre série « Sur le divan » sur notre rapport à la thérapie. Après deux chocs émotionnels, Lucie consulte pour la première fois une psychologue clinicienne. Une thérapie très « classique », en face à face. Un an après, elle retourne la voir pour se débarrasser d’une forte sensation de culpabilité. À sa grande surprise, la professionnelle lui propose une approche inédite : l’EMDR.
Peu de temps après la fin de mes études, j’ai perdu ma mère de manière soudaine. Je n’avais que 23 ans. C’est une entrée rude dans la vie adulte et, pour ne rien arranger, l’année suivante, j’ai vécu un chagrin amoureux bien costaud . J’ai beaucoup d’amies psy, j’étais donc sensibilisée à la thérapie mais j’avais peur d’y aller. Toutes m’avaient dit : « Quand tu iras consulter un psy, ce sera comme un élan vital. » Un deuil et une rupture, nous y étions.
Le témoignage de Lucie est à lire sur Elle.fr
Il inaugure une série de témoignages sur la relation patient/psy.
Aidons les enfants à mieux gérer les écrans
27 avril 2022Sciences/Santé,ÉducationMaxi
Un an après le lancement du 30 18, certains réclament des mesures plus radicales contre les cyberviolences. Également dans le viseur: la surexposition des enfants aux écrans, qui nuit à leur bon développement. Clémence Levasseur s'est intéressé au sujet pour le magazine Maxi, un article publié le 18 avril dernier, à lire ici.
Crédit photo CC: Pixabay
Le prestigieux prix Andersen revient en France et couronne l'œuvre de Marie-Aude Murail
19 avril 2022CultureLittérature jeunesse,Prix littéraire
Marie-Aude Murail a été couronnée par le prestigieux prix international Andersen pour l’ensemble de son œuvre. C’est la première Française à obtenir cette distinction en littérature jeunesse depuis 1964.
Pourquoi la culture sud-coréenne séduit-elle les jeunes Français ?
K-pop, K-drama, webtoon… L’attrait pour les produits culturels coréens est un phénomène mondial auquel la France n’échappe pas. Marie, Leïla, Noé et El Hadj en sont des adeptes.
Guerre en Ukraine : quelle utilisation des réseaux sociaux par les journalistes sur le terrain ?
Depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, les réseaux sociaux représentent à la fois un outil de travail et des canaux de diffusion pour les journalistes présents sur place. Parfois plus que des publications traditionnelles, les « posts » des reporters suscitent l’émotion, touchent un autre public, et archivent au quotidien les événements.
Nous sommes le 6 janvier 2021. Donald Trump est encore président. Il est 20 h 44, heure française, quand Grégory Philipps, alors correspondant aux États-Unis pour Radio France, poste sur son compte Twitter personnel une vidéo de 24 secondes accompagnée d’un seul mot : « Capitole ». Les images montrent des assaillants, encouragés par des compatriotes, grimpant à mains nues un mur situé en contre-bas du siège du Congrès américain. En couvrant cet événement qu’il sait déjà historique, le journaliste a « deux priorités à cet instant : être à l’antenne pour raconter en direct ce qu’il se passe et diffuser le plus rapidement possible la vidéo ». Deux priorités et « deux cerveaux », l’un pour son média, l’autre pour les réseaux sociaux.
Grégory Philipps n’est plus sur le terrain. Mais le désormais directeur adjoint de la rédaction de France Culture, en charge du développement numérique, le sait : les journalistes envoyés couvrir l’invasion de l’Ukraine pensent inévitablement à la photo ou à la vidéo qui viendra accompagner un son. Car cette guerre, « à la différence d’autres conflits », précise Grégory Philipps, laisse la possibilité aux reporters de se servir d’internet directement sur leur téléphone portable. Et donc d’utiliser les réseaux sociaux. Twitter, canal de diffusion privilégié par les journalistes, mais pas seulement.
Lire la suite de l'article sur La Revue des médias, de l'INA
À Paris, alertes en série sur des animateurs maltraitants dans les écoles
Cris, violences, carence de personnel… Les témoignages s’accumulent sur le manque de professionnalisation des animateurs, préoccupant pour la sécurité des enfants. Dans la capitale, le taux d’encadrement sur le temps périscolaire a atteint des pics inquiétants cet hiver : jusqu’à 25 enfants pour un adulte en maternelle.
Au départ, son fils a confié à Brigitte* n’avoir plus envie de retourner au centre de loisirs. En petite section l’année dernière, il raconte avoir été frappé par un animateur de son école, nichée au pied de tours dans le XIIIe arrondissement de Paris. Après une plainte pour « violence volontaire sur mineur », d’après nos informations, la Brigade de protection des mineurs de Paris est saisie.
Brigitte découvre vite que son enfant n’est pas le seul à subir la maltraitance du jeune homme, chef des animateurs de l’école, qui se voit reprocher, à l’issue d’une enquête diligentée par les services de la ville (dont dépendent les 15 000 animateurs périscolaires), des « gestes brutaux dans la prise en charge des enfants », des « propos désobligeants et malveillants » à l’égard d’élèves comme d’adultes, ou encore des « cris », « coups de pied dans les chaises » et autres « comportements agressifs ».
Une enquête à lire sur Médiapart
Hélène Vignal et Hervé Tullet sont les premiers invités de la saison 2 du podcast Entre les lignes
5 avril 2022CultureLittérature jeunesse,Roman adolescent,Podcast
Le podcast sur la littérature jeunesse continue d'explorer entre les lignes des romans adolescent mais s'ouvre désormais aux albums... Queen Kong d'Hélène Vignal et La danse des mains d'Hervé Tullet ouvrent la saison 2.
Inde : les motardes cassent les codes
À Delhi (Inde), des motardes sillonnent les routes sur des deux-roues mythiques. On les appelle les Bikerni. Pour Ankita, Shabnam et Jasmine, la moto est une source de vitesse et de sensations, mais aussi de luttes et d'émancipation.
Un reportage en BD d'Alexia Eychenne et Pierre Tissot (Wouzit) à retrouver dans le numéro 34 (printemps 2022) de la revue Topo.
Fonctions de direction : toujours attractives ?
31 mars 2022Emploi/SocialDirection(s)
Alors que le secteur social et médico-social fait face à des difficultés de recrutement et de fidélisation croissantes, qu'en est-il des fonctions de direction ? Si dans le public, la désaffection est notable, ailleurs les employeurs doivent faire davantage d'efforts pour attirer des profils susceptibles d'occuper ces postes clés. En prenant en compte les nouvelles aspirations des managers.
Dossier réalisé par Jean-Marc pour le numéro d'avril 2022 du mensuel Direction(s).