« Une école ouverte mais au rabais »

Dans une maternelle de Montreuil, les protocoles s’enchaînent. Tout comme les cas de covid. Parents et enseignants s’inquiètent des impacts sur les enfants.

Pour le journal Politis, Malika Butzbach a franchis le portail de cette école pour voir comment on vivent ensemble élèves et enseignants dans le contexte de pandémie Covid-19.

Un article publié le 26 janvier 2022.

Mais que se passe-t-il dans la tête de mon ado ?

Le comportement des ados laisse parfois les parents sans voix. La faute à leur cerveau, qui n’en finit pas de mûrir. Explications de Grégoire Borst, professeur de psychologie du développement et de neurosciences cognitives.

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Thomas Legrand à Paris en septembre 2022 ©AnFloreH

Pour le journaliste Thomas Legrand, sa dyslexie est «une chance»

À l’oral, Thomas Legrand manie la langue française avec fluidité. Mais pas à l’écrit. Témoignage d’un dyslexique qui n’a pas renoncé à son projet professionnel.

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HPI, surdoués, zèbres : en ligne, le juteux business des tests d'intelligence

HPI, trois lettres pour désigner les personnes à "haut potentiel intellectuel". Depuis quelques années, notamment depuis le succès de l'ouvrage Trop intelligent pour être heureux de Jeanne Siaud-Facchin et de la série HPI sur TF1, l'engouement autour de l'intelligence hors norme pousse adultes et enfants à réaliser des tests de QI ou de personnalité afin de découvrir leur haut potentiel intellectuel.

Mais attention, en ligne, l'intelligence est un business : certains professionnels autoproclamés surfent sur la vague en développant des tests, des conférences et même des thérapies. Les professionnels sérieux alertent : les tests de QI doivent impérativement être effectués par des psychologues formés à l'intelligence et en présentiel.

Un article à retrouver dans le numéro d'octobre de 60 Millions de consommateurs


Bizutages : la fac de médecine de Lille compte ses morts

Un étudiant de 18 ans retrouvé noyé dans un étang en 2015. Un autre renversé par un camion sur l'A27 en 2021... À la faculté de médecine lilloise, l'inventaire des drames causés par l'abus d'alcool au cours des soirées "d'intégration" est glaçant. Le bizutage, même s'il ne dit plus son nom, est encore ancré dans les habitudes des étudiants. L’université semble dépassée et le tabou lié à ces rites de passage, plus fort que jamais.

Une enquête d'Alexia Eychenne publiée par Médiacités en septembre 2022.

Photo : Unsplash / Mulyadi


Reprendre des études à l'âge adulte : les meilleures pistes

Grâce aux politiques volontaristes en matière de formation continue et au boom des technologies numériques, se former tout au long de la vie est aujourd'hui, matériellement, accessible à tous. Pour le plaisir ou pour évoluer dans son activité professionnelle, en autonomie ou accompagné, sur internet ou en présentiel, de nombreuses solutions sont disponibles. Un dossier de Marion Esquerré pour Merci pour l'info (ex Dossier familial) de la rentrée, paru le 25 août.


Le cahier de vacances, toujours à la page

Depuis sa création dans la Creuse en 1933 par Roger Magnard, un papetier visionnaire, il fait plancher les écoliers français pendant l'été. Un incroyable succès pour les maisons d'édition, qui en vendent près de 5 millions d'exemplaires chaque année.
Clémence Levasseur est revenue sur l'incroyable histoire du cahier de vacances, un article à lire dans la rubrique Saga dans Parisien Week-end du 8 juillet 2022. A lire ici.

crédit photo : CC ActuaLitté


Aidons les enfants à mieux gérer les écrans

Un an après le lancement du 30 18, certains réclament des mesures plus radicales contre les cyberviolences. Également dans le viseur: la surexposition des enfants aux écrans, qui nuit à leur bon développement. Clémence Levasseur s'est intéressé au sujet pour le magazine Maxi, un article publié le 18 avril dernier, à lire ici.

Crédit photo CC: Pixabay


À Paris, alertes en série sur des animateurs maltraitants dans les écoles

Cris, violences, carence de personnel… Les témoignages s’accumulent sur le manque de professionnalisation des animateurs, préoccupant pour la sécurité des enfants. Dans la capitale, le taux d’encadrement sur le temps périscolaire a atteint des pics inquiétants cet hiver : jusqu’à 25 enfants pour un adulte en maternelle.

Au départ, son fils a confié à Brigitte* n’avoir plus envie de retourner au centre de loisirs. En petite section l’année dernière, il raconte avoir été frappé par un animateur de son école, nichée au pied de tours dans le XIIIarrondissement de Paris. Après une plainte pour « violence volontaire sur mineur », d’après nos informations, la Brigade de protection des mineurs de Paris est saisie.

Brigitte découvre vite que son enfant n’est pas le seul à subir la maltraitance du jeune homme, chef des animateurs de l’école, qui se voit reprocher, à l’issue d’une enquête diligentée par les services de la ville (dont dépendent les 15 000 animateurs périscolaires), des « gestes brutaux dans la prise en charge des enfants », des « propos désobligeants et malveillants » à l’égard d’élèves comme d’adultes, ou encore des « cris », « coups de pied dans les chaises » et autres « comportements agressifs ».

Une enquête à lire sur Médiapart