Cerveau. Quel travail malgré le handicap ?
Les troubles cognitifs, invisibles mais bien réels, sont mal pris en compte dans le monde du travail. Mais ils n’empêchent pas une activité "ordinaire", à condition d’un accompagnement qui assure à celui qui en souffre un emploi sur le long terme. Les associations se battent pour ces droits.
Mooc, une petite révolution dans la formation continue
Apprendre les rudiments de la cuisine, les nouvelles tendances du management ou les règles de la comptabilité de manière vivante, c’est possible grâce aux « massive open online courses » (Mooc). Ces cours en ligne ouverts à tous, sans prérequis et le plus souvent gratuits, ont le vent en poupe.
Insertion. La mode pour trouver un patron
Aider des chômeurs à renouer avec l’emploi et à acquérir une qualification nouvelle, c’est l’objectif du réseau de chantiers d’insertion Tissons la solidarité. Les formations ambitieuses, l’alliance avec des marques célèbres, la création de leurs propres modèles permettent aux salariés une reconversion dans le secteur du luxe.
L’économie sociale et solidaire conjuguée au futur
Encore mal connue, l’économie sociale et solidaire (ESS) reste en butte à des préjugés tenaces. Mais elle commence à bénéficier de cursus universitaires et est devenue un pan très dynamique de l’économie. Et certains secteurs devraient avoir de forts besoins de recrutement.
Compétences. Il y a aussi celles du savoir-être...
On les appelle des « soft skills », à la mode anglo-saxonne. Ces attitudes au travail relèvent du comportement plutôt que du savoir-faire technique. Les directeurs des ressources humaines en sont toujours plus demandeurs, mais attention à l’appréciation subjective qu’ils en ont.
Erasmus+ : 30 ans et des ambitions pour la formation pro.
Erasmus, l’emblématique programme européen de mobilité pour les jeunes, est né en 1987. Les célébrations de ses 30 ans ont été lancées le 9 janvier à Paris, à l’Odéon-Théâtre de l’Europe. Mais depuis 2014, Erasmus a encore gagné en portée, en agrégeant plusieurs autres programmes européens liées à l’éducation et la formation. Sous son nouveau nom, “Erasmus+”, il concerne désormais la formation initiale et professionnelle à tous les âges. Son enjeu, pour les prochaines années : développer la mobilité longue des apprentis (...)
Deux enquêtes et un interview composent ce dossier réalisé par Marion Esquerré pour le magazine bimensuel Inffo Formation du 1er février 2017 (à lire ici).
Jeunesse et travail : Les années d'école
Comment les collégiens et les lycéens se projettent dans leur avenir professionnel ? Comment se représentent-ils le monde du travail ? Le système d'orientation est-il bien équipé et adapté pour aider les jeunes à choisir la meilleure voie professionnelle pour eux ? Et l'apprentissage, tant loué par les pouvoirs publics, offre-t-il un cadre serein pour découvrir le monde du travail ? L'implication de l'Entreprise dans l'école peut-elle favoriser une meilleure insertion des jeunes dans le marché du travail ?
Marion Esquerré s'est interrogée sur les relations plus ou moins distantes que les adolescents entretiennent avec l'idée du travail, dans la première partie du hors-série d'hiver du magazine Social CE, ici.
Travail manuel, entre succès et préjugés
Les témoignages de cadres reconvertis dans l’artisanat ponctuent régulièrement les pages de magazines et reportages télévisuels. Pour autant, ces métiers peinent à se défaire des images négatives qui, depuis longtemps, en font une voie d’orientation par défaut chez les plus jeunes.
Ces métiers qui ont toujours un sexe
Les femmes représentent 48 % de la population active, mais seulement trois familles de métiers (soit 5,5 % des emplois) sur 85 affichent un tel ratio. Malgré les efforts, les préjugés sexistes et les stéréotypes continuent à peser dans l’orientation et l’accès aux métiers. (...)
Cet article de Marion Esquerré pour la rubrique Emploi de l'humanité Dimanche du 12 janvier 2017 (à lire ici) a été cité à plusieurs reprises dans l'émission "Si tu écoutes, j'annule tout" (France Inter) du 13 janvier avec l'invitée du jour, la sociologue Dominique Méda (à partir de 44'30).