La Fresque du climat a le vent en poupe
Depuis sa création en 2015, la Fresque du climat, qui fait comprendre simplement, même aux plus novices, le dérèglement climatique, connaît un succès fou. Plus d’un million de personnes ont déjà participé en France à cet atelier collaboratif. Sa diffusion spectaculaire a pour but d’amener le plus vite possible à un changement de comportements et nous aider à basculer vers un monde bas carbone.
Clémence Levasseur raconte son histoire et son incroyable déploiement dans Le Parisien Week-end. Un article paru le 23 juin, à lire ici.
Crédit photo: @La Fresque du climat
Attaque à Annecy : un choc et des questions
Récit de l’attaque au couteau perpétrée à Annecy (Haute-Savoie) par un réfugié syrien.
À lire dans le Journal du Dimanche du 11 juin ou sur le site internet.
Nathalia, fière d'être gitane
Pour Le Monde des ados, Christine Lamiable a rencontré Nathalia, 13 ans. Elle appartient à une communauté gitane installée sur une aire réservée aux gens du voyage, près de Lille. Elle lui a raconté sa vie, partagée entre traditions et aspirations adolescentes à plus de liberté.
Photos : Sarah Alcalay.
« En retrouvant mes racines, je me suis déployée »
Depuis longtemps, Christine Bernardi s’interrogeait sur la branche italienne de sa famille. En construisant son arbre généalogique, elle a levé un coin du voile sur l’histoire de son grand-père. Un voyage riche en émotions.
Une interview de Christine Lamiable parue dans le numéro de mars de Notre Temps.
Photo : Bertrand Desprez
Au travail, la chaleur tue en silence
Officiellement, sept personnes sont décédées pendant l’été 2022 des suites de la canicule sur leur lieu de travail. Mais la manière de compter et la difficulté à estimer les conséquences des températures extrêmes laissent penser que ce chiffre est sous-estimé. Mediapart a enquêté sur ces morts invisibles.
Une enquête écrite avec Alexia Eychenne, à retrouver sur Mediapart.
Précaires, étudiants… Ils se lavent aux bains-douches pour « limiter les dépenses »
REPORTAGE. Les bains-douches parisiens ne désemplissent pas et offrent de l’eau chaude à ceux qui n’en ont pas. Ou qui n’ont plus les moyens de payer la facture.
Pourquoi les naturopathes font polémique?
Les naturopathes, qui proposent de « soigner » de manière naturelle, connaissent un succès croissant. Mais leurs pratiques, peu régulées, posent problème. Alors que le gouvernement a annoncé vouloir agir, Clémence Levasseur s'est intéressée à cette profession, pour le magazine Maxi. Un article à lire ici, paru le lundi 24 avril.
Crédit photo CC: Pixabay silviarita
Ils ont choisi la vasectomie
Cette méthode de stérilisation masculine reste marginale en France, bien qu’elle soit en hausse. Répartition de la charge contraceptive, refus de procréer dans un monde troublé… Les motivations sont diverses et les regrets peu nombreux.
Une enquête de Christine Lamiable pour Le Monde, parue le 9 avril 2023.
Photographie : shogunangel
Chez les attachés de presse, les influenceurs ont détrôné les journalistes
Moins onéreux qu’une publicité classique, plus proches du public que les journalistes, les influenceurs sont d’une efficacité redoutable auprès des consommateurs. Et ça, les attachés de presse l’ont bien compris.
un voyage de presse. « Le concept même du voyage de presse est hallucinant ! », découvre sur place la jeune diplômée alors embarrassée d’être véhiculée, logée et nourrie pendant quatre jours en Italie par une marque de pâtes pour rédiger un article sur « comment faire des pâtes ». Plusieurs journalistes et une influenceuse participent à ce séjour. « Nous avions un article à rédiger pour nos médias respectifs à l’issue du voyage, donc à part dans l’usine où nous avons fait notre boulot, le reste du temps, nous avons tranquillement profité de Vérone », se souvient la journaliste. Et l’influenceuse ? « Elle bossait non-stop ! Elle photographiait tout et tout le temps, elle enchaînait les stories, répondait aux commentaires et dès que nous avions une pause elle en profitait pour recharger les batteries de son téléphone et de son ordinateur. C’était un flux constant de publications. L’enfer ! » Et quatre jours de visibilité sur les réseaux sociaux pour la marque.
Lire la suite de l'article sur La Revue des médias de l'INA