Don d’embryons : pourquoi cette solution à la pénurie de gamètes reste-t-elle si peu utilisée ?

Malgré sa légalisation en 1994, l’accueil d’embryons reste marginal en France. Largement méconnu, il se heurte à des freins psychologiques, éthiques et logistiques, qui limitent son recours malgré la pénurie de gamètes et de longs délais d’attente pour les parcours PMA.

Décryptage à retrouver dans Marie-Claire


Pourquoi les écoles d'ingénieurs se tournent vers les formations médicales ?

Alors que les technologies prennent de plus en plus de place dans la santé, le secteur a besoin de professionnels à l'interface de ces deux champs. Les écoles d'ingénieurs, fortes de liens déjà anciens avec la pharmacie, mettent en place des doubles diplômes de pharmaciens-ingénieurs et médecins-ingénieurs. Face à l'intérêt grandissant des étudiants et des entreprises, elles ouvrent depuis peu des formations post-bac mêlant des enseignements scientifiques et des cours tournés vers la santé. Un décryptage publié dans le magazine Egora.


Dans les écoles de design, apprendre à créer avec l’IA

Le design subit aussi les mutations amorcées par l’intelligence artificielle. Dans les écoles, les formateur·rices comme les étudiant·es apprennent alors à créer avec ces nouveaux outils, qui permettent de développer leur créativité. Mais toujours avec une approche critique. C'est le cas à l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle où un cours dédié à l'IA est proposé. Un article publié dans la revue CHUT!.

 


Contre la pénurie de gamètes, l’Agence de biomédecine repart en campagne

Depuis l’ouverture, en 2021, de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, les demandes d’ovocytes et de spermatozoïdes ont explosé. Depuis la mi-septembre, un camion missionné par l’Agence de biomédecine fait escale dans plusieurs villes françaises afin de sensibiliser aux dons de gamètes.

Reportage à lire dans M, le magazine du Monde.


Témoignage : Marie-Rose Galès "je milite pour informer sur l'endométriose"

Marie-Rose Galès, 35 ans, a souffert pendant de longues années d’une absence de diagnostic. Depuis près de 10 ans, elle s’engage pour une meilleure prise en charge de l’endométriose et partage ses connaissances sur ce sujet avec le grand public sur ses réseaux, des livres, des podcasts. Un témoignage paru le 4 août dans Maxi, à lire ici.


Pourquoi tricot ou puzzles font-ils tant de bien à notre cerveau ?

Les activités manuelles telles que le tricot ou les puzzles permettent de développer motricité, créativité et plasticité cérébrale. Mais elles sont aussi d’excellents auxiliaires de notre santé mentale.

Un article de Christine Lamiable, paru dans Le Figaro le 11 mars 2025.

Photo : Björn Larsson


Et si mon enfant souffrait d’un trouble oppositionnel avec provocation ?

Dans certains cas, les colères intenses et fréquentes d’un enfant peuvent être le signe d’un trouble d’opposition. La guidance parentale est l’outil principal pour aplanir ces comportements inappropriés.

Une enquête de Christine Lamiable pour Le Figaro, parue le 20 décembre 2025.

Photo : Meryl Cusitano


Cancer du sein : celles qui refusent la reconstruction

En France, parmi les femmes ayant subi l’ablation d’un ou de deux seins (mastectomie totale), seules 3 sur 10 s’engageraient dans une reconstruction après l’opération, estime la Haute Autorité de Santé.

Christine Lamiable a recueilli les témoignages de deux d'entre elles dans Le Figaro du 25 juin 2024.


Patrick Pantostier prête son oreille aux malades

À 70 ans, Patrick a beaucoup à donner et l’envie de rencontrer du monde. C’est chose faite en se consacrant à Visite des malades en établissements hospitaliers et des résidents en Ehpad (VMEH), une association qui offre des visites en hôpital. De quoi rendre le sourire à bien des patients…

Un portrait signé Christine Lamiable pour Notre Temps, paru en octobre 2023.

Photo : Bertrand Desprez.