Les rapatriés d'Indochine obtiennent justice et reconnaissance
1954. Après les accords de Genève signant la fin de la guerre d’Indochine, la France commence à rapatrier en métropole ses ressortissants. Entre 4 000 et 6 000 Français endureront un voyage de vingt jours dans les cales des bateaux de croisière. La majorité d’entre eux est composée de femmes de citoyens français accompagnées de leurs enfants métis. Sur le territoire national, ces Français seront parqués dans trois principaux camps situés dans le Lot et l’Allier. Le 4 juin 2025, les députés ont approuvé à l'unanimité une proposition de loi portée par le député PS Olivier Faure portant reconnaissance de la Nation envers ces rapatriés d’Indochine et réparation des préjudices subis par ces derniers. Une histoire racontée pour les média Koï et l'Opinion.
Elle marche seule !
Après une vie consacrée aux autres, Anne-Marie Boixière, 70 ans, a décidé qu’il était temps de penser à elle. Depuis dix ans, elle parcourt les sentiers, sac sur le dos et cœur en éveil. Une aventure qui lui apporte une sérénité et une liberté qu’elle savoure à chaque pas.
Un portrait signé Christine Lamiable dans le numéro de mai 2025 de Notre Temps.
Photo : Bertrand Desprez
Ils participent à des concours avec leur animal
Ces heureux propriétaires de chiens et de chats ne se contentent pas leur donner toute leur affection : ils s’inscrivent avec eux à des compétitions de dressage, d’agilité ou des expositions de beauté. Motivés par l’amour de la race ou l’envie de retrouver d’autres passionnés, ils sont surtout ravis de renforcer leur complicité avec leur compagnon à quatre pattes. Clémence Levasseur leur a donné la parole dans un article du magazine Pleine Vie, paru le 2 avril, à lire ici.
Photo CC: Dmitry Ovsyannikov
Quand un enfant veut changer de prénom
Au cours de l’enfance ou pendant l’adolescence, il arrive que certains jeunes rejettent leur prénom et demandent à être appelé par un autre, qu’ils se sont choisi. Face à cette attitude qui peut interloquer, quel est le bon comportement à adopter ? Clémence Levasseur a posé la question à Rachida Raynaud, psychologue. Un article paru dans le magazine Pleine Vie paru le 2 avril, à lire ici.
Vider la maison de ses parents, un deuil singulier
Un jour ou l’autre, nous devenons orphelins. Il nous incombe alors de choisir parmi les objets ayant appartenu à nos parents ce que nous allons garder, jeter ou donner. Cette plongée bouleversante dans leurs souvenirs et les nôtres ne se fait pas sans tiraillements.
Un article de Christine Lamiable pour Le Figaro, paru le 10 février 2025.
Photo : Margarita Kochneva de Pixabay
Covid long, colère large : enquête sur un déni français
Pour eux, le Covid-19 n’est pas un mauvais souvenir, c’est leur quotidien. En France, 600 000 à 700 000 personnes auraient développé un Covid long handicapant, qui les empêche de travailler ou de mener une vie sociale normale. Une affection en partie encore mystérieuse mais qui ne suscite que peu d’intérêt des médecins et des autorités. Alors, malgré les douleurs et la fatigue, les malades se documentent et politisent leur colère. Une série d'Alexia Eychenne à retrouver sur le site Les Jours.
Acteurs accusés de violences : le délicat exercice des nécrologies
Alors que le mouvement #MeToo traverse aussi les rédactions, les journalistes s’interrogent sur la manière d'aborder dans leurs articles le décès d’une personnalité accusée de violences sexistes et sexuelles, comme récemment avec l’acteur Niels Arestrup. Un article à lire sur le site de la Revue des médias de l'INA.
Aménager une densité acceptable
Si les aménageurs développent des quartiers de plus en plus compacts, en réponse aux besoins de logements et d’activités près des transports en commun, il leur faut aussi déployer des espaces verts, des commerces et des services de proximité pour permettre l’acceptabilité de leurs projets. Des membres du Club Ville Aménagement livrent leurs constats et expliquent leurs stratégies pour les villes de Nantes, Bordeaux, Angers, Mulhouse, Massy et Lyon. Un article signé Lucie Romano pour la revue Urbanisme.
Vrai/Faux sur les produits anti-gaspi
Chaque année, 40% de la nourriture produite dans le monde est gaspillée, selon une étude de WWF. Depuis peu, les enseignes proposent des produits bientôt périssables, invendus, bien moins chers, parfois sous forme de paniers surprise. Des applications permettent également d’en récupérer près de chez vous. Découvrez en quoi ils peuvent être intéressants. Un article paru dans le magazine Maxi à lire ici.
crédit photo : CC USDA