Enquête sur les célibataires au travail

Rester tard au bureau, récupérer les dossiers urgents, arranger le collègue dont l’enfant est malade en échangeant un jour de congé, être systématiquement privé de vacances à Noël… Dans certaines entreprises, les célibataires, qu’on suppose toujours disponibles, sont corvéables à merci. Certains s’en plaignent, d’autres y voient l’opportunité de faire carrière. Enquête.

Dévergondé, ou au contraire timide à l’extrême ? Ringarde, voire inadaptée ? À moins qu’il ne s’agisse de carriérisme ou d’égoïsme… Au travail, passé un certain âge, les célibataires nourrissent les discussions de couloir. Car, s’il n’est pas surprenant de voir débouler dans l’open space un ou une vingtenaire à peine diplômé et encore célibataire, au-delà de la quarantaine – pour les femmes notamment – ce statut devient source de convoitise, de rumeurs ou de rejet. De leur côté, certains célibataires subissent ce statut et ses conséquences dans l’entreprise, d’autres le tournent à leur avantage.

Une enquête à lire sur Philonomist


Des profs en situation de handicap se disent malmenés par le CNED

L’Éducation nationale permet aux enseignants qui ne peuvent plus faire classe en raison de leur état de santé de travailler depuis leur domicile, par le biais du Centre national d’enseignement à distance. Mais cet aménagement peut être remis en cause, et certains se considèrent alors poussés vers la sortie. Jusqu’au drame, parfois.

Une enquête 100% Inco par Marion Esquerré (texte et photo) et Audrey Chabal (texte) à lire sur Mediapart


Echos du Monde : spécial Amazonie

Depuis le mois d’avril, l’Inco Audrey Chabal épaule la rédactrice en chef d’Echos du monde, le magazine trimestriel du CCFD-Terre solidaire. 

Réflexions sur les sujets et le chemin de fer, secrétariat de rédaction sur l’ensemble du magazine et rédaction d’articles, notamment pour les pages culture.

Dans le numéro de novembre, spécial Amazonie.

Echos du monde est disponible sur abonnement et en partie en ligne


Economies d'énergie : et si on s'inspirait des anciens ?

La sobriété énergétique donne l'occasion de remettre au goût du jour des gestes de bon sens pratiqués depuis des générations.
Quelques astuces à retrouver dans le numéro de novembre de Ca m'intéresse


HPI : gare aux idées reçues

Hypersensibles et en échec scolaire, les surdoués ? Pas sûr ! Si certains se sentent en décalage avec les autres et peuvent avoir des problèmes relationnels, beaucoup le vivent très bien.

L'intelligence hors norme fascine. La série télévisées HPI dans laquelle une femme de ménage au QI de 160 aide la police à résoudre des enquêtes, rencontre un franc succès. Pour désigner les individus plus brillants que les autres, la terminologie a évolué : surdoué après la seconde Guerre mondiale, enfant intellectuellement précoce au sein de l'Education nationale depuis 2000, et même zèbre, selon Jeanne Siaud-Facchin, auteure en 2008 du best-seller Trop intelligent pour être heureux ? Désormais, les spécialistes parlent de Haut potentiel intellectuel (HPI) ou Haut quotient intellectuel (HQI). Malgré les progrès de la recherche, les clichés persistent.

Lire la suite de l'article dans le dossier spécial de une Dans les secrets de l'intelligence du numéro de septembre 2022 de Ca m'intéresse


HPI, surdoués, zèbres : en ligne, le juteux business des tests d'intelligence

HPI, trois lettres pour désigner les personnes à "haut potentiel intellectuel". Depuis quelques années, notamment depuis le succès de l'ouvrage Trop intelligent pour être heureux de Jeanne Siaud-Facchin et de la série HPI sur TF1, l'engouement autour de l'intelligence hors norme pousse adultes et enfants à réaliser des tests de QI ou de personnalité afin de découvrir leur haut potentiel intellectuel.

Mais attention, en ligne, l'intelligence est un business : certains professionnels autoproclamés surfent sur la vague en développant des tests, des conférences et même des thérapies. Les professionnels sérieux alertent : les tests de QI doivent impérativement être effectués par des psychologues formés à l'intelligence et en présentiel.

Un article à retrouver dans le numéro d'octobre de 60 Millions de consommateurs


Sur le divan : "Je veux que ma psy me trouve intelligente et attachante"

Notre série « Sur le divan » interroge notre rapport à la thérapie. « Être aimée. » C’est ainsi que Julie, 34 ans, résume sa relation transférentielle avec sa psychanalyste. En cure depuis quatre ans, la jeune femme a rejoué inconsciemment des schémas relationnels déjà vécus avec ses propres parents : s’émanciper du cadre, partir, revenir et constater qu’elle était accueillie sans jugement.

Dans la relation de transfert, il y a quelque chose de l’ordre de l’amour que tu réclames et que tu attends de tes parents. Dans le transfert, l’analysant demande à être aimé. Et en effet, je veux que ma psy me trouve intelligente et surtout attachante.

Le témoignage de Julie est à lire sur Elle.fr 


Climat, Covid 19, IA : le casse-tête de la recherche photos

Comment illustrer un article en photo sans tomber à côté, ni dans le cliché ? La question se pose d’autant plus pour des sujets nouveaux ou abstraits, sur lesquels chacun peine à se faire une idée. Il faut du temps pour élaborer collectivement une image juste de la réalité.

[...] « Getty Images ou Shutterstock jouent un rôle dans nos imaginaires. Quand on cherche « IA », c’est une IA qui vous induit des images d’IA… » C’est le serpent qui se mord la queue. « Il existe environ 400 000 images d’IA sur Shutterstock mais ce sont toujours les mêmes qui ressortent car c’est l’algorithme qui met en avant celles qui ont le plus de succès. Cet engrenage est déterminé par l’IA elle-même. » Et par le fait que les journaux, par manque de moyens, font de moins en moins appel à des professionnels pour produire des photos originales, d’autant plus sur ces sujets particulièrement complexes à mettre en scène. [...]

Un article à lire sur La Revue des médias, de l'INA


Surveillance au travail : le panoptique à l'ère numérique

Votre employeur compte chacun de vos clics ? Vous devez pointer à chaque fois que vous ouvrez votre ordinateur ? Vous n’êtes pas le seul. Avec le télétravail, la surveillance s'introduit au cœur de nos outils de travail. Mais ce n’est que la dernière évolution d’une forme de contrôle des travailleurs présente depuis bien longtemps, de la surveillance verticale du travail par le contremaître de l’usine à la surveillance horizontale de chacun sur tous dans l’open space.

Il est 13 h 15 et Anouk* interrompt son coup de fourchette. « J’ai oublié de badger ! » La trentenaire est cadre. Depuis deux ans, elle est en CDI, à temps plein, dans une entreprise installée en région parisienne. Elle vit à Lyon, après quelques mois passés dans le sud et dans l’ouest, au gré des déplacements de son mari. En télétravail à 100 %, elle doit « pointer » quand elle commence à travailler, quand elle prend une pause, quand elle s’y remet et quand elle coupe son ordinateur le soir. Comme ses collègues qui alternent, depuis la pandémie, le « distanciel » et le « présentiel ».

[...]

Une enquête sur la surveillance au travail à lire sur Philonomist