Enquête sur les célibataires au travail

Rester tard au bureau, récupérer les dossiers urgents, arranger le collègue dont l’enfant est malade en échangeant un jour de congé, être systématiquement privé de vacances à Noël… Dans certaines entreprises, les célibataires, qu’on suppose toujours disponibles, sont corvéables à merci. Certains s’en plaignent, d’autres y voient l’opportunité de faire carrière. Enquête.

Dévergondé, ou au contraire timide à l’extrême ? Ringarde, voire inadaptée ? À moins qu’il ne s’agisse de carriérisme ou d’égoïsme… Au travail, passé un certain âge, les célibataires nourrissent les discussions de couloir. Car, s’il n’est pas surprenant de voir débouler dans l’open space un ou une vingtenaire à peine diplômé et encore célibataire, au-delà de la quarantaine – pour les femmes notamment – ce statut devient source de convoitise, de rumeurs ou de rejet. De leur côté, certains célibataires subissent ce statut et ses conséquences dans l’entreprise, d’autres le tournent à leur avantage.

Une enquête à lire sur Philonomist