Faut-il interdire les médicaments au goût de bonbon?

Efferalgan « capuccino », Fervex « framboise », Smecta « fraise »… Dans les rayons des pharmacies, les médicaments aromatisés se multiplient, qu’ils soient vendus sur ordonnance ou non. Autrefois réservés aux enfants, les sirops, poudres et gélules au goût de friandises s’attaquent désormais au marché des adultes.

Clémence Levasseur a interrogé deux experts à ce sujet: Carole Le Saulnier, directrice des affaires juridiques et réglementaires à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et Martine Baumgarten, pharmacien d’officine, ancienne présidente de l’UTIP, Union nationale de formation continue des pharmaciens.

Un article paru le 24 février dans Le Parisien Magazine.

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