Je suis envieux

Faut-il vraiment, comme l'affirmait Jules Renard, savoir que les autres ne sont pas heureux pour l'être vraiment ? Nous n'irons pas jusque là. Mais il arrive que le bonheur de certaines personnes provoquent chez d'autres une envie dévorante et douloureuse. Pourquoi ?

Les réponses de Virginie Megglé, psychanalyste, et Catherine Raverdy, psychologue clinicienne, dans un article de Christine Lamiable paru dans le numéro d'août 2017 de Psychologies.

Crédit photo : Javier Morales.


La fin du cauchemar

Pour 5 % de la population, sommeil rime avec mauvais rêves. Un trouble souvent handicapant. Mais une technique existe qui peut y remédier. Le Pr Isabelle Arnulf, neurologue et chef du service des pathologies du sommeil à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris), et le Dr Élisabeth Groos, psychiatre dans ce même service, nous l'expliquent.

Une enquête de Christine Lamiable parue dans Tribune Santé en juillet 2017.

Crédit photo : Reflected Serendipity.


J'en ai assez de tout organiser

Hiver comme été, au travail ou en vacances, Nadia, 45 ans, chargée de mission RH, a l’habitude de tout organiser. « J’agis avant tout le monde car j’ai mon opinion sur la manière dont un projet doit être mené et parce que j’aime que ça aille vite. Sinon, ça m’agace. C’est très confortable pour mes collègues ! Mais mon attitude a eu une influence négative sur mon mari et ma fille. À présent, j’ai beau leur demander d’en faire plus par eux-mêmes, ils me demandent sans cesse comment agir. »

Comment lutter contre ce besoin  de contrôle ? Les réponses de Juliette Allais, psychanalyste, et Odile Chabrillac, psychothérapeute analytique, sous la plume de Christine Lamiable. Un article paru dans Psychologies en juillet 2017.

Crédit photo : Kamillia Oliveira.


Je n'aime pas être photographié

Comme un certain nombre de personnes, Louise, 47 ans, bibliothécaire, fuit les objectifs comme la peste. « J'ai beaucoup de mal à me voir en photo. Ce n'est pourtant pas que je me trouve affreuse mais il y a un décalage entre l'image que j'ai de moi et celle que je vois sur papier glacé ou sur écran. Et ce n'est jamais à l'avantage de la photographie ! Je me trouve mieux en vrai. »

Virginie Megglé, psychanalyste, et Elsa Godart, psychanalyste et philosophe, expliquent ce que révèle cette peur d'être photographié. Un article de Christine Lamiable paru dans Psychologies en avril 2017.

Crédit photo : L'art au présent.


Conservation des ovocytes: enceinte quand je veux ?

Un enfant, oui, mais plus tard ! Les femmes qui veulent choisir le bon moment pour convenances personnelles ou professionnelles, doivent se rendre à l'étranger pour faire congeler leurs ovocytes. En France, cette pratique n’est autorisée que pour raisons médicales. Mais le débat n'est pas clos.

Un article de Clémence Levasseur paru dans Femme Actuelle le 31 mai 2017.

Crédit Photo CC: ___steph___


Je n'aime pas l'imprévu

Réunion de dernière minute à laquelle on n'est pas préparé, famille qui s'invite sans prévenir, rendez-vous annulé, etc. Ces imprévus sont source d'angoisse pour certaines personnes qui, toujours, les voient comme de « mauvaises surprises »

Pour Psychologies, Christine Lamiable a enquêté sur la difficulté à faire face à l'accidentel et les solutions pour profiter de l'instant présent. Un article paru en avril 2016.

Crédit photo : Christine Lamiable


Faut-il délivrer une pilule sans ordonnance ?

Le collectif « Libérez ma pilule » demande aux laboratoires pharmaceutiques de mettre rapidement sur le marché une pilule sans ordonnance. L'appel, signé notamment par le Planning Familial, n'emporte pas l'adhésion de tous les professionnels de santé.

Un débat qui oppose le Dr Danielle Gaudry, gynécologue-obstétricienne, ancien membre du bureau national du Planning Familial, et le Pr Geneviève Plu-Bureau, gynécologue médicale à l'Hôpital Port Royal de Paris et membre du conseil scientifique du CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français).

Propos recueillis par Christine Lamiable pour le Parisien Magazine et paru le 12 mai 2017.

Crédit Photo : David Gaborit.


Je me confie trop vite

Chaque fois que Corinne, 33 ans, change de travail ou de ville, elle se fait la promesse de ne plus faire de confidences sur son ex-mari. « J’ai vécu pendant huit ans avec un pervers narcissique. À présent, lorsque je rencontre quelqu’un qui me semble à l’écoute ou qui mentionne des problèmes liés à la jalousie, j’ai envie de partager cette expérience. Je me rends compte que mon interlocuteur juge parfois que j’en dis trop. »

A l'instar de Corinne, certaines personnes ne peuvent s'empêcher de se mettre à nu avec le premier venu. Pourquoi ? Christine Lamiable a enquêté pour Psychologies dans son numéro de mai 2017.

Photo : Adrienne Bentham.


Cerveau. Quel travail malgré le handicap ?

Les troubles cognitifs, invisibles mais bien réels, sont mal pris en compte dans le monde du travail. Mais ils n’empêchent pas une activité "ordinaire", à condition d’un accompagnement qui assure à celui qui en souffre un emploi sur le long terme. Les associations se battent pour ces droits.

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