L’environnement à feu et à sang
Aux innombrables victimes des guerres, de 14-18 à l’invasion russe en Ukraine, s’ajoutent celles exposées à un environnement dévasté par les conflits. Pollution des eaux et des sols, destruction des écosystèmes, risques nucléaires... Des conséquences de très long terme qui restent encore difficiles à mesurer et à sanctionner.
Un article d'Alexia Eychenne paru dans le numéro de septembre de Causette.
Interview de Merle Hoffman, Militante historique pour le droit à l’avortement aux États-Unis
Pionnière de la lutte pour les droits des femmes aux États-Unis, Merle Hoffman a ouvert l’une des premières cliniques pratiquant l’avortement, en 1971. Près de cinquante ans après, alors que la Cour suprême a invalidé l’arrêt Roe vs Wade, permettant aux États de légiférer librement sur ce sujet, la septuagénaire reprend le combat. Clémence Levasseur l'a interviewée pour le magazine Femmes Ici et Ailleurs. Un entretien paru le 7 septembre, à lire ici.
Echos du monde, le magazine du CCFD-Terre Solidaire
Depuis le mois d'avril, l'Inco Audrey Chabal épaule la rédactrice en chef d'Echos du monde, le magazine trimestriel du CCFD-Terre solidaire.
Réflexions sur les sujets et le chemin de fer, secrétariat de rédaction sur l'ensemble du magazine et rédaction d'articles, notamment pour les pages culture.
Dans le numéro d'été, de nombreux sujets sur l'Ukraine.
Echos du monde est disponible sur abonnement et en partie en ligne
Elles se mobilisent pour les Ukrainiens
Depuis le début des hostilités le 24 février dernier, indignés par les images du conflit, de nombreux français ont relevé leurs manches pour venir en aide à ce peuple opprimé. Trois d’entre eux nous expliquent pourquoi ils ont décidé de se mobiliser.
Une enquête de Clémence Levasseur parue dans Pleine Vie le 2 mai 2022, à lire ici.
Crédit photo : Cédric PIOCH/FNSPF
Guerre en Ukraine : quelle utilisation des réseaux sociaux par les journalistes sur le terrain ?
Depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, les réseaux sociaux représentent à la fois un outil de travail et des canaux de diffusion pour les journalistes présents sur place. Parfois plus que des publications traditionnelles, les « posts » des reporters suscitent l’émotion, touchent un autre public, et archivent au quotidien les événements.
Nous sommes le 6 janvier 2021. Donald Trump est encore président. Il est 20 h 44, heure française, quand Grégory Philipps, alors correspondant aux États-Unis pour Radio France, poste sur son compte Twitter personnel une vidéo de 24 secondes accompagnée d’un seul mot : « Capitole ». Les images montrent des assaillants, encouragés par des compatriotes, grimpant à mains nues un mur situé en contre-bas du siège du Congrès américain. En couvrant cet événement qu’il sait déjà historique, le journaliste a « deux priorités à cet instant : être à l’antenne pour raconter en direct ce qu’il se passe et diffuser le plus rapidement possible la vidéo ». Deux priorités et « deux cerveaux », l’un pour son média, l’autre pour les réseaux sociaux.
Grégory Philipps n’est plus sur le terrain. Mais le désormais directeur adjoint de la rédaction de France Culture, en charge du développement numérique, le sait : les journalistes envoyés couvrir l’invasion de l’Ukraine pensent inévitablement à la photo ou à la vidéo qui viendra accompagner un son. Car cette guerre, « à la différence d’autres conflits », précise Grégory Philipps, laisse la possibilité aux reporters de se servir d’internet directement sur leur téléphone portable. Et donc d’utiliser les réseaux sociaux. Twitter, canal de diffusion privilégié par les journalistes, mais pas seulement.
Lire la suite de l'article sur La Revue des médias, de l'INA
Inde : les motardes cassent les codes
À Delhi (Inde), des motardes sillonnent les routes sur des deux-roues mythiques. On les appelle les Bikerni. Pour Ankita, Shabnam et Jasmine, la moto est une source de vitesse et de sensations, mais aussi de luttes et d'émancipation.
Un reportage en BD d'Alexia Eychenne et Pierre Tissot (Wouzit) à retrouver dans le numéro 34 (printemps 2022) de la revue Topo.
Les serpents tuent encore
Fléau des pays pauvres, les morsures de serpent constituent l’une des maladies tropicales les plus négligées. En Inde, elles tuent plus que nulle part ailleurs dans le monde. Cobras, vipères et bongares pourraient aussi y avoir le pouvoir de soigner, à condition de lever les obstacles industriels, logistiques et culturels à la production des sérums.
Un article d'Alexia Eychenne et Rozenn Le Saint paru dans Le Monde diplomatique d'octobre 2021.
Covid-19 : au Bangladesh, les oubliées de la “fast fashion”
Médecins du monde fête ses 40 ans
Tenant dans son bec un rameau d’olivier, symbole de la paix, une colombe sur un fond bleu forme une croix blanche, représentant la médecine et les soins. Voilà le logo de l’association Médecins du Monde. Et il résume parfaitement son action : soigner les populations les plus vulnérables, témoigner des atrocités lors des conflits armés et se battre obtenir une meilleure santé pour tous. Alors qu’elle fête l'ONG fête ses 40 ans en 2020, Clémence Levasseur revient sur son histoire, son action et ses défis à venir.
Un article paru dans Maxi sorti le 27 juillet 2020, à lire ici.