Saga : Womanizer, le jouet qui fait vraiment plaisir

Vendu à plus de 10 millions d’exemplaires dans le monde, le Womanizer a révolutionné l’univers des sex-toys… et la sexualité de nombreuses femmes. C’est un inventeur allemand qui a eu l’idée de créer cet objet centré sur le clitoris. Clémence Levasseur revient sur son étonnante histoire, à l’occasion de ses 10 ans, dans Le Parisien Week-end. Un article paru le 4 mai, à lire ici.


Grace à la Ressourcerie du cinéma, les décors tournent

A Montreuil (Seine-Saint-Denis), depuis bientôt quatre ans, l’association La Ressourcerie du Cinéma récupère des décors de tournage pour éviter qu’ils finissent à la benne : faux murs, fenêtres, portes, moquettes, colonnes, rochers... Ils sont ensuite proposés à d’autres projets audiovisuels mais aussi aux professionnels du BTP, ou aux décorateurs d’intérieur. Trois cents tonnes de déchets ont déjà été revalorisées. Un reportage de Clémence Levasseur paru le 17 mai dernier dans Le Parisien Week-end, à lire ici.


Saga : Lipton, l'affaire est dans le sachet

C’est à la fin du XIXe siècle que Thomas Lipton, fils de modestes épiciers écossais, développe l’entreprise familiale puis démocratise le célèbre thé. L’autodidacte fera de la marque à son nom un empire, aujourd’hui leader mondial du secteur avec 400 millions de consommateurs quotidiens, répartis dans 110 pays. Pour Le Parisien Week-end, Clémence Levasseur retrace l'incroyable histoire de cet entrepreneur visionnaire. Un article de 4 pages à lire ici.


Les Cafés Joyeux débarquent à Canal +

Employant des personnes en situation de handicap mental et cognitif, la chaine de café­s et restaurants solidaires a ouvert un « Comptoir » au sein du groupe audiovisuel. La bonne humeur du personnel a conquis l’ensemble collaborateurs. Un reportage de Clémence Levasseur publié le 18 mars dans le magazine Maxi, à lire ici.

 


A défunt lucratif

En 1993, une loi abolit le monopole communal des pompes funèbres en France. Objectif : faire baisser les prix des obsèques grâce à la concurrence du privé. Dès lors, la mort devient au contraire un business très lucratif. "Manque de transparence", "concentration" des opérateurs, "hausse des prix", la Cour des comptes dénonçait, en 2019, un secteur funéraire "insuffisamment contrôlé", au détriment des familles endeuillées qui payent le prix fort. Depuis quelques années, une alternative émerge : les coopératives funéraires, qui promettent une approche désintéressée.

Une enquête à lire dans le numéro 43 de La Revue dessinée.


Agnès Sevestre dans son atelier de la cité artisanale des Taillandiers dans le XIe arrondissement de Paris ©AnFloreH

À Paris, les artisans se réinventent et ouvrent leurs portes

Le savoir-faire des artisans du XXIe siècle mêle habilement qualité, proximité et responsabilité. Un cercle vertueux, dans l’air du temps. Reportage.

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Saga : Caran d'Ache a toujours bonne mine

Fondée en 1915 près de Genève, Caran d’Ache, détenue à 100% par l’une des familles fondatrices, continue à fabriquer au sein de son usine helvétique, du matériel pour l’écriture et le dessin. Vendus dans 90 pays, ses produits de qualité, très appréciés par les artistes, font aussi partie du patrimoine local. Un reportage de Clémence Levasseur, paru le vendredi 2 février 2024, à lire ici.

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Quand les rayons antigaspi compliquent le travail des associations de l’aide alimentaire

Le développement massif des rayons antigaspi dans les supermarchés a fait baisser la quantité et la qualité des dons versés par les grandes surfaces aux associations. Et complique leur travail alors que le nombre de personnes dépendantes de l’aide alimentaire ne cesse d’augmenter.

À lire sur le site internet de La Vie et dans le Canard enchaîné du 20 décembre.


Saga: Chez Yves Rocher, la beauté, c'est naturel

En 1959, dans sa maison natale du Morbihan, Yves Rocher, amoureux de la nature, a créé une marque de cosmétiques à base de plantes, qui a démocratisé la beauté. Aujourd’hui, l’entreprise familiale qui compte 20 millions de clients dans le monde, cherche toujours à tirer le meilleur de la nature, tout en conservant une politique de petits prix. Un article publié le 25 novembre dernier dans Le Parisien Week-end, à lire ici.

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