À l’université de Nanterre, le BaskIn réunit étudiants valides et en situation de handicap sur un terrain de sport

Avec ses chaussettes bleues comme le revêtement du terrain, Lara sprint en dribblant jusqu’à la zone des paniers. Tout à coup, elle s’arrête et pose le ballon de basket par terre. C’est Jean-Charles, restée jusque-là dans son fauteuil roulant près du potau, qui se saisit d’une autre balle, plus petite, pour se lever et marquer le point. Les acclamations recouvrent presque les commentaires grognons de l’équipe adverse, formée par Anne-Claire, Océane et Didier. Comme chaque lundi soir, à partir de 18h, une petite dizaine de jeunes étudiants et actifs se réunissent dans le gymnase de l’université de Nanterre pour participer au créneau de BaskIn, un sport proposé par l’établissement et qui permet aux personnes valides et à celles en situation de handicap de jouer ensemble. Un reportage pour Le Parisien Étudiant.


« Ils sont remontés à bloc ! » : au lycée de l’Authié, cap sur Sciences-po pour ces lycéens de milieu rural

Plus de 170 km séparent le lycée polyvalent de l’Authie, à Doullens dans la Somme, de Paris et sa rue Saint-Guillaume où se situe Sciences-po Paris. Mais cette distance apparaît bien plus lointaine à Jello, lycéen en terminale générale au sein du lycée samarien. « Il y a d’autres barrières que la simple distance, des barrières symboliques. » Depuis la seconde, le jeune élève fait partie du dispositif de convention d’éducation prioritaire (CEP) que la prestigieuse école parisienne a signé avec le lycée de l'Authié en 2022, comme avec 201 autres établissements en France. Reportage à lire dans Le Parisien Étudiant.