Enseignement supérieur privé lucratif : la master class de l’arnaque

Le marketing agressif de l’enseignement supérieur privé trompe les étudiants, notamment ceux dont les parents ne disposent pas des codes pour se repérer dans le maquis des filières.

Une enquête publié au sein du dossier "Le privé à l'assaut du supérieur" d'Alternatives Economiques.


« C’était une seconde chance à saisir » : intégrer des grandes écoles avec un bac pro, c’est possible

En faisant une prépa TSI ou ECP, les anciens lycéens professionnels peuvent tenter - et réussir - les concours d’écoles d’ingénieur ou de commerce.

Lorsqu’ils évoquent leurs premières années d’études dans le supérieur, les bacheliers professionnels interrogés sont unanimes. Aucun d’entre eux ne s’imaginait entrer dans une grande école ou simplement faire des études longues. « Devenir ingénieur, ça me semblait impossible lorsque j’ai intégré une seconde pro modélisation et prototype 3D, après avoir échoué au brevet, c’était une seconde chance à saisir », raconte Antonin Coloigner, aujourd’hui ingénieur chez Airbus et diplômé de Sigma Clermont.

Un article publié par Le Parisien Étudiant en octobre 2024.

 

 


Propos racistes à l’école, popularité de Bardella : les profs face aux idées d’extrême droite

Alors que monte le vote en faveur de l’extrême droite, l’école n’échappe pas à ses idées. Les enseignantes et enseignants font face à une libération de la parole raciste, notamment dans les territoires et villes où est implanté le RN.

Un article publié sur Basta en septembre 2024.


L'Éducation nationale, un désert médical qui s'amplifie

Avec un médecin scolaire pour 13.000 élèves, un psychologue pour 1.500 et un infirmier pour 1.300, l'Éducation nationale apparaît comme un désert médical. Tandis que ces professions sont touchées par une crise d'attractivité, le manque d'effectifs a des conséquences sur le suivi des élèves, puisque une bonne santé, physique comme mentale, est un facteur de réussite à l'école.

Le grand déséquilibre de l’accès à l’escalade

Alors que la pratique explose partout en France, la Seine-Saint-Denis ne compte que quatre salles privées. Mais, sur le territoire, de multiples acteurs tentent de rendre accessible un sport encore très codifié socialement.