La vigie des morts au travail

Il y a douze ans, Michel Bianco, ancien syndicaliste, perdait son fils dans un accident du travail que le remplacement d’une rambarde aurait pu éviter. Depuis, il se bat aux côtés des familles de victimes pour faire reconnaître en justice la responsabilité des entreprises. Une quête éprouvante, mais qu’il juge nécessaire, alors que 500 personnes meurent chaque année au travail en France.

Un portrait écrit par Alexia Eychenne, à lire dans le 10e numéro de la revue Sang froid, en kiosque jusqu’à fin septembre (photo : Mylène Zizzo).